Compte rendu Grenoble, 9 juillet, ODTI
Modus Operandi, Karine Gatelier – karine @ modop.org / Séréna Naudin – serena @ modop.org
> Propose des écoutes sonores de leurs créations collectives
Notamment à Pont-de-Claix, ou lors de l’événement « ouverture exceptionnelle » le 17/10
RUSF 38 (Réseau Universités Sans Frontières), Lison Leneveler, chercheuse à Villeurbanne sur les questions d’accueil par les villes des personnes en migration – rusf38 @ gresille.org
> Propose de reporter la soirée inter squats prévue en mars, autour du film d’atelier réalisé à Maurice Scève, suivi d’un moment convivial
Cpa, Ethnopôle « Migrations, Frontières, Mémoires », Philippe Hanus, historien, Coordinateur scientifique de Réseau Mémorha, Chercheur associé au LARHRA – philippe.hanus @ valenceromansagglo.fr
> Soirée en préparation en collaboration avec la librairie LES MODERNES autour de Carte de séjour et Rachid Taha
> Proposition de diffuser le travail de bande dessinée documentant la lutte des travailleurs immigrés tunisiens en 1973 « corps en grève »
ODTI, Claude Jacquier
> Propose tout un festival (mais ce sera en septembre) « équinoxe métisse » (banquet, tables rondes, etc.)
Département de l’ISÈRE, Suzie Grenèche, Chargée de mission coopération internationale
Direction de la culture et du patrimoine, +33 (0)4 76 00 64 19 suzie.greneche @ isere.fr
> Organisation des rencontres Africa 2020 autour du Senegal, reporteé de décembre à juin 2021 – Inclure l’ouverture du 4 décembre avec les senegalais d’Isère dans la biennale Traces ?
> Prévoir des collaborations en 2021 autour de l’invitation à Fatou Diomé ou Matti Diop ?
Maison de l’image de Grenoble, Yuliya Ruzhechka – yuliya.ruzhechka @ maison-image.fr
> Plusieurs expositions pourraient être inscrites dans la biennale ainsi que peut être une rencontre ?
Aletheia Casey et Miki Nitadori – questionnent l’importance de nos aïeux, de notre culture ou des cultures que nous portons dans nos histoires personnelles, et de l’attachement humain que l’on peut avoir à sa terre natale. À travers son projet « Odyssée », Miki Nitadori s’interroge sur le « comment vit-on ensemble ? », hier, aujourd’hui et demain.Les souvenirs personnels se mélangent avec les questions de l’Histoire et de l’identité, qu’elle soit personnelle ou collective. La valise d’images d’une famille américo-japonaise, laissée à Hawaï, est le point de départ de cette Odyssée. C’est vrai pour ces images, mais aussi pour l’artiste dont l’histoire personnelle se croise de manière surprenante avec celle de cette famille représentée sur les photos.
Aletheia Casey interroge la violence de la colonisation tasmanienne en Australie, son pays natal. Sa recherche visuelle se porte sur cette histoire, grande absente du discours historique dominant, dont le trauma apparent influence encore la conscience collective et personnelle. L’artiste révèle un contexte australien peu connu en Europe. Cependant les liens restant universels entre mémoire et histoire sont ici questionnés. Aletheia Casey rend hommage à d’autres récits, à ceux de l’ombre, davantage qu’à ceux habituellement partagés.Le dialogue entre ces deux artistes vise à explorer comment chacun d’entre nous se construit à travers la mémoire collective, tout en mettant en lumière des histoires silencieuses, cachées voire traumatiques, qui n’ont pas le droit de cité dans l’Histoire dominante.
AMAL, association franco maghrébine, Myriam Martinez- amal38 @ gmail.com
> Peuvent accueillir des moments, une exposition
> Propose lectures à voix haute de différents auteurs (Fanon ? Kateb Yacine ? Etc), fruit d’ateliers collectifs de poésie
Cimade Grenoble, Daniel Delpeuch – grenoble @ lacimade.org
> Festival Migrant scene
LE CAMELEON, Olivier DAVIET,
> Proposition d’un spectacle pour la biennale : Ne me parlez pas de migration!
Il s’agit d’un « concert-théâtre-conférence » autour de plusieurs thèmes : les migrations, l’identité, les appartenances, … « Ne me parlez pas de migration! ». Notre page Facebook :
https://www.facebook.com/Ne-me-parlez-pas-de-migration-107218894067687/
Revue Ecarts d’Identité, Abdelatif Chaouite, Rédacteur en chef
Régie de Quartier Vn Vo, Jouda Bardi – jbardi @ regiegrenoble.org
> Présenter l’expo NOUS ET LES AUTRES dans d’autres quartiers
> Mettre en place une discussion sur les discriminations en temps de crise sanitaire, interroger les solidarités, la cellule métropole, questions des squats, l’impact sur le parcours des jeunes
> Projet avec Françoise Verges, artpentage
> Intéressée par l’expo 30 ANS DE MARCHE
Ienissei Teicher – CCARM + Cie Kikei, La Mure
> Spectacle de rue solo
> organiser une projection à La Mure ?
ACCR, Amandine Vassieux, Pont-en-Royans – lacinquiemesaisonaccr @ gmail.com
NOTE : FITA, CUISINE D’AILLEURS, ARMENIE EP proposeraient aussi de s’inscrire dans Traces.
L’idée est d’organiser aussi collectivement la SOIRÉE DE CLÔTURE DE LA BIENNALE TRACES à et en collaboration avec LA SALLE NOIRE le samedi 5 décembre.
IMPORTANT : j’ai besoin que vous me renvoyiez la fiche d’inscription ci-jointe au plus tard le 24 AOUT si vous souhaitez inscrire une proposition dans la prochaine biennale TRACES. Dites moi si jamais vous avez besoin de quelques jours supplémentaires ;
Programme prévisionnel (document de travail)
14h – Intro par une projection : Jusqu’au bout (France | 1973 | 40 minutes), Un film de Collectif Cinélutte – La question des immigrés, esquissée dès les films de mai 68, va prendre une place grandissante dans le cinéma militant qui suivit, encore amplifiée par la circulaire du 23 février 1972, dite Marcellin-Fontanet, interdisant « la régularisation de tout étranger entré sur le territoire sans autorisation de travail et sans attestation de logement ». En 1973, dans l’église de Ménilmontant, 56 travailleurs tunisiens entament une grève de la faim, première de ce type en France, pour l’obtention de leur carte de travail. Cinélutte filme leur combat. Après une séquence montrant le recrutement d’ouvriers en Tunisie même, d’autres travailleurs immigrés témoignent de la dureté de leurs conditions de vie en France. Soulignant la continuité entre combat antiraciste et lutte contre l’exploitation, le film accompagne les grévistes de la faim jusqu’à la victoire, célébrée collectivement en une danse débridée.
15h00 – Table ronde 20 ans de réseau régional autour des migrations, mémoire et transmission
Avec (sous réserve de leur accord et de leur disponibilité) : WARDA HOUTI, Lela BENCHARIF, Benjamin Vanderlick, Sarah Mekdjian, Lison Leneveler, HANUS Philippe, Mohammed Ouaddane
> Coordination de cette table ronde par Abdellatif Chaouite
16h30 – Spectacle « Ne me parlez pas de migration! »
18h : Table ronde sur les mobilisations 2020 d’entre-aide auprès des personnes exilées, questions des marches, « où en est la lutte ? » – contenu et titre à préciser
> Coordination de cette table ronde par Karine Gatelier
19h30 : repas
20h30 : lectures par AMAL
21h : concert / moment convivial – programmation à construire
Demander conseils autour de vous ? Demander au studio petit Bonheur ?
23h : FIN