Collectifs et personnes impliqué.e.s:
- Habiba Zerarga, Réseau Traces
- Sarah Fouquet, Le Lab’O, Singa
- Laurence Fournel, Amicales laïques du Crêt-de-Roch et de Tardy
- Marion Peyre, Cimade
- Agnès Mann, Cimade
- Valérie Sala-Pala, enseignante-chercheuse au Département d’Etudes Politiques et Territoriales, Laboratoire Triangle
- Lise Serra, Architecte-urbaniste, Maîtresse de conférences à l’Université de La Réunion
- Marie-Hélène Mathieu, Les Moyens du Bord
- Nabil Djedouani, Archives Numériques du Cinéma Algérien et Association Fugues de Barbarie (Saint-Chamond)
- Johanna Elalouf, artiste-plasticienne
- Lionel Fayolle, Radio Dio
- Catherine Herbertz, Médiathèque de la Ricamarie
- Sylvain Damy, Médiathèque de la Ricamarie
- Amandine, médiathèque de la Ricamarie
- Josiane Fudeau et Josiane Carle, Compagnie Mont’Ô’rêve, Théâtre amateur pour le spectacle « On est trop nombreux dans ce putain de Bateau ! »
- Hervé Agnoux, Singa avec l’action « Tenir Parole »
- Caroline Costil, médiatrice culturelle aux Archives Municipales et Métropolitaines de Saint-Etienne
- Nicolas Urbaniak, Radio Ondaine
- Antoine Vernet, secrétaire du GREMMOS
- Clara Mortamet, Professeure en sociolinguistique, Directrice du département FLE, Université Jean Monnet de Saint-Etienne
- Dominique Belkis, Anthropologue, Maîtresse de conférences à l’UJM de Saint-Etienne et chercheuse au Centre Max Weber
- Pascal Bonnard, Coordonnateur et chercheur au Département d’Etudes politiques et Territoriales à l’UJM
- Thierry Segreto, Château de Goutelas à Boën (42)
- Sylvain Pichon, Cinéma Le Méliès, Saint-Etienne
- Sabrina Askelou, Cinéma Le Méliès, Saint-Etienne
PROCHAINE REUNION le mardi 12 JUILLET à 14h à l’Amicale Laïque du Crêt-de-Roch.
Merci de me tenir informée de votre présence et, en cas d’absence, de me faire passer vos propositions, envies et/ou besoins par mail à cette adresse : habiba.zerarga@traces-migrations.org
> Les dates de la Biennale 2022 : du samedi 15 octobre au samedi 10 décembre.
> Soirée d’ouverture : le samedi 15 octobre à Saint-Etienne Myscier Blodya et un groupe de rap d’exilés de Chambéry + d’autres groupes de personnes issues des immigrations.
> Soirée de clôture au RIZE à Villeurbanne : le 10 décembre avec une scène ouverte avec les habitant.e.s autour de l’instrument voyageur.
> Deadline pour s’inscrire et présenter des projets : fin juillet, dernier délais 25 août.
Tour de table des propositions :
>Habiba Zerarga, Traces, est revenue sur les dernières nouvelles de Traces concernant les financements : la Région retire sa subvention (15000 EUR annuels depuis 21 ans) à l’association, d’autres collectivités baissent leur financement. Il va falloir co-produire les événements de la Biennale pour les financer, notamment la soirée festive de lancement de la Biennale à Saint-Etienne ou alentour le 15 octobre, avec concert de groupes impliquant des personnes issues des immigrations.
Un appel à soutien va être diffusé largement aux adhérent.e.s de Traces.
Elle a rappelé les axes qui s’étaient dégagés lors des précédentes réunions départementales : la mémoire de la guerre d’Algérie et ses héritages et l’expression des personnes exilées. Elle avait omis un axe important à l’aube de l’anniversaire de la Marche pour l’Egalité : l’engagement et les mobilisations, notamment contre les discriminations, des immigré.e.s. Une nouvelle thématique émerge : la question des réfugiés ukrainiens.
>La table ronde sur l’apport des migrations à la musique en France, initialement prévue en introduction du concert d’ouverture le 15 octobre, se déroulera finalement après la lecture musicale La Brûlure sur Rachid Taha de Brigitte Giraud et Christophe Langlade au Chok Théâtre à 20h, le samedi 22 octobre. Avec Allaoua Bakha (Le Grain) et d’autres acteur.ice.s impliqué.es dans la scène musicale stéphanoise et/ou régionale.
> Je propose que nous ayons des temps festifs pendant la Biennale (repas, petits concerts en marge d’une exposition…) afin de recueillir des fonds.
> Nous disposons gratuitement de l’exposition Music Migration. Paris-Londres 1962-1989, pendant toute la Biennale.
>Lionel Fayolle, Radio Dio, a rappelé l’implication de la radio associative stéphanoise depuis les débuts de Traces, il propose une couverture promotionnelle de la Biennale ainsi que des émissions spéciales, notamment en direct.
Concernant les difficultés financières, il évoque la possibilité d’organiser des soirées festives de soutien, notamment avec Gnawa Diffusion qui se reforment et Amazigh Kateb.
Il souhaite participer à la reprogrammation du film de Nabil Djedouani Rock Against Police avec le film White Riot sur les concerts antiracistes au Royaume-Uni. Au Méliès ?
>Nicolas Urbaniak, Radio Ondaine basée à Firminy, participe à Traces depuis toujours. Il propose un investissement sur la communication. Il évoque le dispositif La Main Ouverte qui consiste à donner la parole à ceux et celles qui la prennent peu ou pas du tout.
Il parle de la possibilité de faire une émission spéciale de 2h pour lancer la Biennale, idéalement un mercredi pour avoir des enfants (à la Ricamarie ?) et de déplacer un studio radio pour des émissions en direct.
>Josyane Fudeau et Josiane Carle, de la Compagnie Mont’Ô’rêve, proposent de rejouer pendant la Biennale le spectacle « On est trop nombreux dans ce putain de bateau » de Matéi Visniec : 9 personnes sur le plateau. Au NEC de Saint-Priest-en-Jare, le 1er octobre. C’est une pièce à l’humour ravageur sur l’exil : « Matéi Visniec, en tant que journaliste à Radio France Internationale s’est «noyé» dans les informations et les reportages concernant les migrant.e.s. Suite à ses voyages il a touché certaines réalités. Dramaturge de grand talent, il a utilisé toute cette matière pour porter sur le plateau ce gigantesque phénomène migratoire. Les scènes sont courtes, les situations dramatiques (inspirées de faits réels) suggèrent le grand dilemme moral dans lequel se trouve l’Europe. C’est une tragédie de l’humanité qui se déroule devant nos yeux, digne du théâtre antique grec où l’homme se confrontait à la force implacable du destin. »
>Laurence Fournel rappelle la mise à disposition à titre gracieux des Amicales Laïques de Tardy et du Crêt-de-Roch pour la Biennale Traces. Elle propose d’accueillir :
> le spectacle de la Cie Mont’Ô’rêve à l’Amicale Laïque de Tardy en coproduction avec la Cimade,
> un concert + exposition avec Singa au l’Amicale du Crêt-de-Roch.
>Marie-Hélène Mathieu a rappelé l’implication de l’association Les Moyens du Bord dans la Biennale depuis 2016.
> Elle souligne son implication dans un groupe de sept lecteurs, la Compagnie Voix-Ci Voix-Là, qui est en train de travailler sur des textes littéraires et des discours politiques à l’Assemblée nationale notamment, qui abordent la colonisation de l’Algérie de 1830 jusqu’à 1914-18. Ce travail s’intitule Nous l’appellerons Algérie et nécessite un écran et un vidéoprojecteur. Il pourrait être programmé un soir à 18h30 à L’Amicale Chapelon ou à l’Amicale du Crêt-de-Roch avec un débat et un repas.
>Je dois préciser ici que Les Moyens du bord est une association reconnue par l’Etat et qui fait partie des groupes d’entraide mutuelle. Elle accueille des personnes touchées par des troubles psychiques avec des ateliers artistiques et d’écriture menés par des artistes. Elle n’a pas vocation à accueillir des exilés mais cela arrive. Elle accompagne depuis un an un exilé débouté trois fois.
>Marie-Hélène nous signale aussi l’existence d’un film réalisé par Georges Goubier sur dix appelés d’Algérie dans le quartier du Soleil : « Sommes-Nous revenus d’Algérie ? ». Ce film a été réalisé en collaboration avec la Maison de quartier du Soleil. Il en existe une version d’1 heure et une autre de 1h30. Contact : g.goubier@free.fr
> Johanna Elalouf, artiste plasticienne. Elle travaille aussi sur la voix.
>Elle a réalisé une exposition intitulée World in progress sur la cartographie qui consiste à découper des cartes et à les recoudre, ce qui donne lieu à une carte du monde fantaisiste et onirique qui questionne la notion de frontières. Elle la propose dans le cadre de la Biennale Traces.
- une performance d’une heure sur cette même thématique
- un workshop pour aller chercher le public et les impliquer.
>Hervé Agnoux participe à Singa et anime dans ce cadre des ateliers pour apprendre le Français en inventant des saynètes sur la vie quotidienne, cela donne lieu à des petits spectacles tous les mois avec le lieu La Brouette. Cette action s’intitule Tenir Parole et consiste à recueillir la parole des exilé.e.s, notamment sur la précarité qui les touche très souvent, et à la faire relayer par des acteurs et actrices.
>Sarah Fouquet, du Lab’O créatif et interculturel de Singa en partenariat avec l’Ecole de l’Oralité a présenté les actions de sa structure qui accompagne des créatifs nouveaux arrivants sur le territoire stéphanois, issus de l’immigration ou sensibles à l’interculturalité.
>Le projet de restitution prévu en juin est décalé en octobre et pourra prendre place pendant la Biennale Traces, le festival Migrant’scène et le festival de la Comète : Jimmy réalisateur, Bachir, rappeur originaire de Guinée-Conakry, Elvyne artiste-peintre du Gabon, Maïa danseuse géorgienne, Papy Sepelas musicien compositeur chorégraphe, Mina styliste, Zakia, brodeuse algérienne et Nassim photographe qui s’intéresse aux représentations sur les musulmans après le 11 septembre 2001.
>Des interventions urbaines dans l’espace public sont envisagées afin d’interpeler les gens et les inviter à venir aux événements, un partenariat avec le Remue-Méninges est prévu autour de la valorisation des parcours et des savoir-faire.
>Caroline Costil, Archives Municipales et Métropolitaines, propose d’inclure pendant la Biennale des visites guidées de l’exposition sur les archives de la guerre d’Algérie à Saint-Etienne et dans la Loire à partir d’octobre 2022 jusqu’en juin 2023. Elle évoque le film de Aude Fourel « Pourquoi la Mer rit-elle ? », dans lequel la mère de Allaoua Bakha est interviewée. Il est programmé à la Cinémathèque de Saint-Etienne.
> Catherine Herbertz et Sylvain Damy, médiathèque de la Ricamarie, pense que ce nouveau partenariat permettra de travailler avec la Mairie de La Ricamarie.
- En octobre : Ils vont accueillir le prochain volet du travail de Catherine Gauthier Rue des Kebabs, avec un plateau radio. Contact : catherinegauthier42@yahoo.fr. Le dispositif intégrerait en septembre le Pôle Jeune de la Ricamarie avec un plateau radio avec Radio Dio ainsi qu’un recueil de témoignages avec la Maison de Retraite de la Récamière avec Radio Ondaine.
- En novembre : Proposition du concert dessiné du collectif EINA avec deux luths (musique traditionnelle et contemporaine) et deux dessinateurs avec projection sur drap en direct.
- En décembre : Exposition présentée à Montpellier autour des photographies de Germaine Tillon en Algérie dans les Aurès : « Femmes, enfants et éducation à l’époque coloniale ».
- Sylvain Damy a commencé un travail avec la cinéaste Aline Fisher. Il y a 8 ans, elle a suivi un bus du British Council qui a traversé toute l’Ukraine jusqu’au Donbass. Elle a alors rencontré des collectifs de vidéastes. Le travail consiste à numériser les 20h de rushs et à entretenir une correspondance géographique et à travers le temps avec ces collectifs de vidéastes ukrainien.ne.s. Il espère avoir terminé un prémontage pour novembre. Il est en lien avec la Cinémathèque de Saint-Etienne.
> Nabil Djedouani, Archives Numériques du Cinéma Algérien et Association les Fugues de Barbarie à Saint-Chamond. Réalisateur et restaurateur de films, il vient pour en savoir plus sur la programmation autour de la mémoire de la guerre d’Algérie et de ses héritages. Il fait partie du groupe de travail sur la programmation filmographique sur cette question et il interviendra lors d’un cycle programmé à l’Opéra Underground de Lyon et qui commencera pendant la Biennale Traces.
- Son film Rock Against Police était programmé à la Biennale Traces 2020 avec White Riot et une écoute sonore, mais cela a dû être annulé à cause de la Covid. On peut reconduire cette soirée.
>Valérie Sala-Pala propose une soirée débat « Quartiers populaires, quartiers politiques » pour croiser le regard de chercheur.e.s, artistes et militant.e.s avec un film sur les quartiers populaires. Exemple de l’ouvrage Jeunes de Quartier de Marie-Hélène Bacqué.
>Pascal Bonnard propose une balade urbaine pendant la Biennale sur les traces du passé colonial à Saint-Etienne.
>Lise Serra se demande si nous sommes en contact avec ATD Quart-Monde qui effectue un travail de bibliothèque de rue aux pieds des tours derrière le Parc de l’Europe. Elle se propose de les contacter. Elle rappelle que le 17 octobre est la Journée Nationale contre la Misère. Contact : liseserra@gmail.com
> Marion Peyre et Agnès Mann, La Cimade propose d’indiquer sur la page dédiée au festival Migrant’scène la programmation d’un film à la Cinémathèque de Saint-Etienne sur les femmes dans la guerre d’Algérie. Le film n’est pas encore choisi, Habiba s’est proposé pour envoyer à la Cimade les films qu’elle a repéré sur cette question. Les dates de Migrant’scène : du 12 novembre au 4 décembre. Le thème de cette année : Libertés ! dans l’Egalité et la Solidarité.
La Cimade insiste sur le fait qu’elle ne souhaite pas se retrouver dans la nécessité de « boucler » un programme trop rapidement dans une logique régionale d’impression avec des impératifs trop serrés.
- Un projet musical avec l’Ecole de l’Oralité et Emmanuel Bardon en particulier.
- L’exposition de photographies et des cartographies cousues de l’artiste plasticienne stéphanoise Johanna Elalouf.
- Une exposition avec SOS Méditerranée
- L’exposition Cartooning for Peace, parrainée par Plantu, dans l’espace public autant que possible (les Arcades du Centre-Ville ou ailleurs dans la ville).
- Une exposition à la BU mais Habiba a rappelé la tenue du colloque organisé par Samir Hadj Belgacem et de nombreux partenaires la semaine du 21 novembre, pendant lequel une exposition est déjà prévue (ONACVG).
- Un spectacle de marionnettes par une troupe de Roanne en direction du jeune public.
- Le spectacle humoristique « Migrando » pour l’instant sans réponse.
>Le Château de Goutelas prépare une action autour du droit des personnes LGBTQI+ du vendredi 18 au dimanche 20 novembre .
Clara Mortamet, Professeure en sociolinguistique, Directrice du Département FLE, Université Jean Monnet de Saint-Etienne :
- l’exposition « Portraits de plurilingues », qui réunit 28 portraits d’enfants migrants et d’adolescents plurilingues. Le projet, qui a réuni une artiste, des enseignantes et que j’ai coordonné visait à dessiner des portraits en intégrant les langues des personnages. Les dessins sont augmentés d’entretiens sur le plurilinguisme des enfants, et sur leur dessin.
Cette exposition était visible du 5 avril au 5 mai à l’espace jeunesse de la Médiathèque de Tarentaize.
>Antoine Vernet, Le GREMMOS : Le Gremmos suit, certes d’un peu loin, mais avec intérêt le travail accompli par l’ensemble des parties prenantes de la future Biennale. Jusqu’à maintenant, il n’a pas eu l’occasion de nous impliquer, d’une manière ou d’une autre, dans la préparation de la biennale (même si, par ses recherches propres, Catherine Gauthier nous représente un peu…). Nous pouvons souligner l’implication de ses partenaires que sont les archives municipales de Saint-Étienne et Radio Dio. Le Gremmos peut éventuellement proposer des ressources et des intervenant.e.s.
> Cela peut prendre la forme d’une conférence en direct sur Radio Dio, notamment sur la question de la mémoire ouvrière immigrée pendant la guerre d’Algérie et sur Omar Maredj qui a assassiné un Lieutenant-Colonel à Firminy. Mercredi 16 novembre soir à l’Amicale Tardy ?
>La Petite Campagne, jardin citoyen collectif rue Neyron, représenté par Christine Tartavel et l’Association Terrain d’Entente, représentée par Josyane Gunther se propose de rejoindre la dynamique Biennale.
> SOS Méditerranée propose une projection-débat sur la traversée de la Méditerranée. Céline Galland a pensé au film Midnight Traveler mais on peut passer un autre film.
> Samir Hadj Belgacem organise un colloque sur « les 60 ans de l’Indépendance algérienne : Histoire, mémoire, actualités » à l’Université Jean-Monnet de Saint-Etienne la semaine du 21 novembre en partenariat avec Michel Wilson (Coup de Soleil), Michel Huet (Fnaca 42), Michel Rautenberg (PU Sociologie UJM), Léla Bencharif (Réseau Traces), Habiba Zerarga (Traces), Samir (Traces), Pierre Régis Dupuys (Directeur des Archives Municipales), Caroline Costil (AM responsable des publics), Sophie Legentil (Responsable des publics aux Archives Départementales), Alexandra Leyrit (Vice-Présidente déléguée à la réussite étudiante UJM), Antoine Ravat (Directeur de la cinémathèque), Sylvain Buissonnier (ONACVG), Isabelle Tissot (Prof. Histoire/Géo Feurs), le Mémorial de la résistance et de la déportation, Association des Anciens Appelés en Algérie et leurs Ami(e)s Contre la Guerre (3ACG) :
L’événement s’adresse avant tout au public des étudiant.es de l’Université Jean Monnet, assez largement ignorant de l’histoire de la guerre d’indépendance algérienne. En mettant l’accent sur l’indépendance de l’Algérie, il s’agit de remettre au centre de la réflexion la colonisation pour saisir les logiques de décolonisation. Il s’agit de proposer une offre diversifiée d’initiatives à la fois scientifique, citoyenne, artistique et culturelle pour faire découvrir cette histoire et son actualité, notamment l’actualité de la recherche en SHS avec l’invitation de chercheurs français comme étrangers, mais aussi des moments de débats et d’échanges avec des témoins.
- L’exposition aux Archives Municipales et Départementales
- une exposition à l’Atrium (salle 125m2) au cœur de la BU : celle de l’ONACVG
- des débats avec des témoins
- une réflexion sur l’état de la recherche en sciences humaines et sociales
- Une rencontre littéraire avec Nedjma Kacimi pour son livre Sensible (Ed. Cambourakis, 2021) et Louisa Yousfi pour Rester Barbares (Ed. La Découverte, 2022)
- une table ronde autour de l’ouvrage de Paul-Max Morin « Les Jeunes et la guerre d’Algérie » ( Ed. PUF, 2022), en dialogue avec des artistes
- une table ronde avec les revues Ecarts d’Identité et Mémoires en Jeu qui ont toutes deux consacré un numéro à la guerre d’Algérie ; …