Cin’exil : Parcours d’exil
Projection
Clermont-Ferrand
La Jetée
Mer 16 nov
18h
Gratuit*
* Dans la limite des places disponibles
Tout au long de leur dangereux parcours d’exil, suivi de l’anxiogène et incertaine période d’attente avant d’obtenir une protection dans un pays dit d’accueil trop souvent gangréné par le rejet de «l’étrange» étranger, les personnes déracinées doivent puiser au plus profond d’elles-même pour conserver le seul bien qui leur reste, leur dignité. A travers une sélection de court et long métrage, cette soirée Cin’exil propose d’apporter un support de sensibilisation à la cause des exilés et de rendre hommage à tous les collectifs qui œuvrent au soutien des réfugiés-migrants.
Projection de « Tilo koto » de Sophie Bachelier et Valérie Malek,
suivi d’un court-métrage.
Organisé par Sauve qui peut le Court-Métrage et Amnesty International Clermont-Ferrand.
INFOS & RÉSERVATION :
Centre de documentation La Jetée : 6 Place Michel de l’Hospital 63000 Clermont-Ferrand
Groupe Amnesty International Clermont-Ferrand : clermontferrand@amnestyfrance.fr
DÉTAILS :
Depuis 2018, la rencontre entre un membre du groupe de Clermont d’Amnesty International engagé auprès des personnes déracinées et un membre de l’équipe de Sauve qui peut le Court Métrage sensible à la cause des personnes forcées à l’exil a conduit à la création d’un partenariat nommé Cin’Exil, dont le but fût d’abord, lors de la journée mondiale des réfugiés du 20 juin, d’organiser des projections de films courts, fiction, animation ou documentaire, ayant trait à l’exil forcé, aux peurs, aux dangers, aux angoisses, aux très fragiles espoirs, mais aussi au courage de celles et ceux que les violences politiques, ethniques, économiques, climatiques ou religieuses obligent à fuir leur pays, lorsque ces femmes, ces enfants, ces hommes n’ont plus d’autre choix pour protéger leurs vies.
Tout au long de leur dangereux parcours d’exil, suivi de l’anxiogène, trop longue et incertaine periode d’attente avant d’obtenir une protection dans un pays dit d’accueil trop souvent gangréné par le rejet de « l’étrange » étranger, les personnes déracinées doivent puiser au plus profond d’elles-même pour conserver le seul bien qui leur reste, leur dignité.
Nous nous sommes fixés comme objectif, avec Cin’Exil, d’apporter un support supplémentaire de sensibilisation à la cause des exilées.
Nous rendons aussi hommage à toutes les associations, réseaux, collectifs ou comités qui, sous formes diverses, oeuvrent au soutien des réfugiés-migrants, ainsi qu’à toutes ces citoyennes et citoyens qui ont un jour croisé la route d’une personne déracinée et se sont engagés sans réserve à son soutien,.
Nous sommes donc très heureux avec Cin’Exil de participer à cette biennale du réseau Traces et d’apporter ainsi notre modeste contribution à l’éclairage sur la réalité des migrations dans ce qu’elle présente de plus tragique.